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Les trucs pour reconnaître le vrai miel.

Comment savoir si le miel que vous achetez n’est pas mélangé avec du sirop de sucre ? y a t-il un truc pour savoir si les abeilles sont nourries avec du sucre ? Eh bien oui il est possible de repérer les faux miels. Voici quelques astuces simples pour faire des tests de qualité et ne pas se faire arnaquer avec des faux miels. Tout d’abord sachez que presque tous les miels cristallisent. Du coup, ce n’est pas parce qu’un miel devient dur, change de couleur ou se transforme en petits cristaux au fond et sur les bords du pot que forcément celui-ci contient du sucre. Le miel est un produit naturel et donc il peut changer de texture et de couleur entre le moment où il est récolté chez l’apiculteur et le moment ou vous le consommez. Ces changements de l’état du miel dépendent de plusieurs facteurs, cela va dépendre par exemple de combien de mois se sont écoulés après la récolte, où il a été stocké, le type du miel, des variations de températures qu’il aura subit, etc…

1ère astuce : Avant tout, goûtez votre miel et sentez-le pour voir si le miel a un parfum de fleurs naturel avec des arômes subtils. Si il a un parfum de fleurs ou quelque chose se rapprochant de la nature, de la terre ou de la forêt c’est un bon signe. Le miel trafiqué avec du sucre en général n’a pas d’odeur.

2ème astuce : Faites tomber une goutte de miel liquide sur du papier absorbant, si la goutte reste poser en suspension sur le papier et qu’elle ne disparaît pas alors c’est du vrai miel. Si au contraire, la goutte de miel vite est absorbée par le papier et qu’elle disparaît dans la feuille alors c’est un mauvais signe, ca veut dire qu’il y a du sirop à l’intérieur.

3ème astuce : Plonger une cuillère dans un pot de miel liquide et retirer-la tout de suite. tenez la cuillère au dessus du pot et laisser couler le miel qui est resté sur la cuillère dans le pot. Le miel doit tomber dans le pot en formant un fil très fin entre la cuillère et le pot. Si vous voyez que le fil est long et fin et continu et si qu’il ne se casse pas alors c’est un bon signe. C’est du bon miel. Mais si au contraire le fil de miel est fin mais discontinu et qu’il se casse beaucoup alors ce n’est pas bon signe, le miel est peut-être trafiqué.

4ème astuce : Mettez un peu tout petit peu de miel (1/2 cuillère à café) au fond d’un verre et ajouter un peu d’eau tiède dans le verre. Prenez le verre dans votre main et faites des ronds avec le verre pour que l’eau tourne en tourbillonnant dans le verre. Si c’est du vrai miel, au fond du verre pendant que vous tournez le verre vous devez voir le miel dessiner des formes rondes qui ressemblent beaucoup aux alvéoles de la ruche. Si vous ne voyez rien et que le miel s’est dilué très rapidement dans l’eau alors c’est sûrement un faux miel.

Le meilleur conseil que je peux vous donner c’est d’achetez du miel directement chez un professionnel car c’est la garantie d’avoir un miel de qualité.

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NOTRE CLASSEMENT DES MEILLEURS MIELS :

Tous les miels sont bons mais certains miels sont vraiment très bons et ont plus de succès. Voici notre sélection des meilleurs miels du monde.

N°1 Le miel de jujubier du Yémen,

N°2 Le miel de manuka de Nouvelle-Zélande,

N°3 Le miel de thym d’Espagne ou de Grèce,

N°4 Le miel d’acacia de France,

N°5 Le miel toutes fleurs de France et le miel de Châtaignier

N°6 Le miel de lavande et le miel d’oranger

N°7 Le miel d’Eucalyptus et le miel d’euphorbe du Maroc

N°8 Le miel de sapin et le miel de montagne

N°9 Le miel de romarin

N°10 Le miel blanc de Kirghizistan

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Capturer un essaim c’est bien et c’est sain mais ce n’est pas gratuit.

Une intervention pour capturer un essaim dure en moyenne entre une et deux heures. Cette durée varie en fonction de la distance pour ce rendre sur le lieu et de la difficulté de l’intervention. Pour intervenir, l’apiculteur doit se déplacer avec tout le matériel dont il aura besoin sur place : un escabeau pour travailler à bonne hauteur, un sécateur pour accéder à l’essaim si celui-ci est accrocher à une branche d’arbre, une combinaison, une ruchette, du nourrissement pour abeilles, etc…). Le temps passé pendant l’intervention, le matériel, le déplacement, les soins apportés à l’essaim après sa capture représentent un coût financier pour l’apiculteur.

La plupart des gens pensent que les essaims sont productifs en miel immédiatement mais il n’en est rien. En effet, un essaim qu’on capture chez un particulier a une espérance de vie très faible comparé à une colonie d’abeilles dans une ruche. Un essaim d’abeilles est le résultat de la division d’une ruche surpeuplée. Quand une ruche devient trop petite pour les abeilles, la vieille reine la plus âgée doit céder sa place de pondeuse à une jeune reine. La « vieille » reine, souvent quitte la ruche avec plusieurs centaines d’abeilles pour aller trouver un nid pour y fonder une nouvelle colonie qui partira de zéro. Une fois l’essaim capturé, l’apiculteur aura pour mission d’en prendre soin pour lui assurer une longue vie. Si tout va bien, au bout d’un an la nouvelle colonie produira enfin suffisamment de miel pour elle et pour l’apiculteur. Le métier d’apiculteur est en crise et il est aléatoire, c’est pourquoi de plus en plus d’apiculteurs professionnels demandent une participation financière pour leur intervention (entre 50 et 100 €).